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Des mois de spéculations s'achèvent aujourd'hui puisque la bonne nouvelle est enfin confirmée : Interpol, l'un des groupes les plus acclamés des quinze dernières années, sortira son sixième album, Marauder, le 24 août prochain via Matador Records.
Pendant que vous lisez ces lignes, Interpol est actuellement en train d'en révéler tous les détails (thèmes, making-of, visuels, producteur, etc.) à une foule constituée de leurs fans les plus fervents et de médias, en live depuis Mexico, via une conférence de presse retransmise en direct . Cette annonce arrive avec un premier single, 'The Rover' , que le groupe jouera en live demain (8 juin), dans l'émission The Late Show with Stephen Colbert, et avec la nouvelle que le groupe sera en concert à Paris le 29 novembre, salle Pleyel. (Places en vente vendredi 15 juin à 10h.)
Pour la première fois depuis Our Love To Admire en 2007, Interpol se sont ouverts à la collaboration avec un producteur. Ils ont voyagé jusqu'à New York pour travailler avec Dave Fridmann - célèbre pour avoir enregistré avec Mercury Rev, Flaming Lips, MGMT, Spoon, Mogwai, et tant d'autres.
Paul Banks prend également un nouveau tournant en tant que songwriter. Dans les anciens albums d'Interpol, le chanteur se tenait à l'écart de son propre travail, préférant nourrir ses paroles de pensées détachées et d'observations abstraites. Mais plus de 20 ans après le début de l'aventure, le leader s'autorise enfin à jouer un rôle dans les histoires qu'il nous conte.
Cette attitude est aussi présente dans le visuel de l'album, un cliché du procureur général Elliott Richardson, qui, en 1973, démissionna après avoir refusé d'obéir aux ordres du Président Nixon lui sommant de renvoyer le procureur spécial Archibald Cox, qui dirigeait à cette époque une investigation sur le scandale grandissant du Watergate.
Sur la photo en question, Richardson fait figure de personnage solitaire, isolé, sans défense face aux regards qui le scrutent, dans une pièce à l'apparence artificielle. "A lot of being accountable has to do with being honest," dit Paul, en se référant autant aux paroles qu'à ce visuel
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Vidéos de Interpol
Liste des albums de Interpol
Avis sur Interpol
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Sans plus. Rien ne vaut l'original même si les Editors restent assez nettement plus inspirés.
L'exceptionnelle simplicité d'Interpol
Pour la sortie de leur 5ème album en 12 ans, les New Yorkais d'Interpol ont choisi l'Olympia pour deux dates exceptionnelles. On était à la première, et le moins qu'on puisse dire, c'est qu'ils ont du métier.
Tous de noirs vêtus, excepté le batteur, les cinq membres arrivent sereinement sur scène. Le chanteur et guitariste, Paul Banks, est au milieu, entouré de son bassiste et de son guitariste. Derrière, la batterie à gauche, le clavier à droite. Et ça ne bougera pas. Pas un mouvement, pas un déplacement, pas une accolade. Tout est réglé et maîtrisé. Les membres du groupe restent sur la place qui leur est délimitée. Malgré cette caractéristique scénique qui peut lasser, on ne s'ennuie pas une seconde !
Le début du concert est le début d’une longue histoire. « Say Hello to the Angels » sera la préface. Puis, c’est une alternance entre les (très bons) morceaux du dernier album, El Pintor, et les classiques tels que Evil, Take you on a Cruise, NYC ... Le concert passe à une vitesse folle. Tout semble très simple. Les projecteurs, posés sur scène, donne une dimension à chaque morceaux à des moments clefs du concert. On sent que tout est bien répété, et il n’y a que la musique qui est rock. Les Interpol nous donnent un concert d’une simplicité impressionnante. C’est fluide, et leur attitude colle parfaitement avec l’ambiance des morceaux.
Toujours très statiques, chacun sait son job et il n'y déroge pas. Le show est ficelé, chaque transitions est soignées et contrôlées. Pendant l’heure et demi de concert, rien de sort du cadre prévu. C'est sûrement le seul reproche que l'on peut leur faire, le manque de folie, de mouvement ; et pourtant, ça colle avec la musique. Au fil de ses chansons, Interpol nous raconte une histoire, et c’est tout naturellement qu’ils nous disent "Goodbye" avec la mythique "Stella Was a diver and she always down".
Après tout, qu'importe la folie pourvu qu'on ait la musique.
Maxime Fremy
Reportconcert.fr
Setlist : Say hello to the Angels ; Anywhere ; My Blue Supreme ; Evil ; Take you on a cruise ; My Desire ; The New ; Everything is wrong ; NYC ; Breaker 1 ; Rest my chemistry ; Slow Hands ; Not Even Jail ; PDA.
Encore : All the rage back home ; Lights ; Stella was a diver and she always down.
Interpol – Le 21/11/2007 – Zénith / Paris. Ce n’est pas forcément le groupe le plus « funky » et le plus « je me lache avec des impros endiablés ». Ils peuvent paraître un peu propre et sortent peu de l’écriture studio. Néanmoins quelle coordination au service d’un même sens rythmique parfaitement maîtrisé On s’extase de bout en bout des transitions parfaites qu’ils enchaînent entre temps et contretemps. Ils en sont presque à nous rappeler les Artic Monkeys, la batterie surpuissante en moins. Mais la comparaison vaut principalement dans la coordination parfaite. Musicalement parlant on est plus proche des Pixies. Certains titres en sont la démonstration parfaite comme « C’Mere » ou « Evil ». Ils sont tous épatants, mais j’adresse tout de même une mention spéciale au guitariste en costard. Il a l’attitude du mec qui semble possédé par sa gratte. C’est elle qui le déplace. Un petit Jamie Hince en puissance.
Le 23/04/2005 - PALAIS D'Auron Bourges.
Après une première partie géniale, Gomm, et un concert qui commence à l'heure, c'est-à-dire 17h, puis BLOC PARTY et une foule déchaînée, voici enfin LE groupe. CONCERT génial niveau son et lumière par contre au niveau du contact avec le public ça craint.Trop à fond dans ce qu'il font a peine un merci, en plus je crois que c'etait l'anniv de l'un d'entre eux quand des mecs lui ont souhaité il a pas sourcillé, bizarre. et Daniel qui parle un francais impeccable qui n'as pas aligné un seul mot...enfin un point positif, sam le batteur n'etait pas malade e tn'a pas gerbé, c'etait tjs mieux qu'a l'elysée.voila. decue un peu quand mm.
Le 20/04/2005 - REZE.
J'adore interpol depuis la sortie de leur premier album et je me faisais une joie de les voir enfin sur scène.
Après les avoir bien attendu, le concert débute et après 2 chansons, le chanteur passe un long moment à accorder sa guitare et semble être ailleurs que parmi le public. Ils ont seulement joué 6 chansons et sont partis pendant 5 minutes. Je crois que personne dans la salle n'avai compris que c'était déjà le rappel !!! Ils ont joué 2 chansons et la lumière s'est allumée ! Montre en main, sans compter les moments de flottement du groupe, ils ont du jouer une petite heure et se sont bien foutu de nous.
C'est bien la peine d'avoir attendu aussi longtemps pour voir des mecs aussi imbus de leur personne. Je ne me serais vraiment pas cru à un concert de rock avec toute cette foule figée !
La prochaine fois, je retrournerai voir girls in hawaii. Je suis sure de ne pas me tromper et de voir un groupe qui respecte son public.
Le 19/11/2004 - elysée montmatre.
voilà, je connais interpol depuis plus d'un an et j'avai trop hate de les voir sur scene.j'ai été pas mal decue deja parce que le concert n'a failli durer qu'une demie heure a cause du batteur qui etait malade et qui a gerbé, sympa, donc ils ont failli tout arreté puis enfin ils ont repris pour au final un set qui a duré une pauvre heure...en plus le bassiste, ou guitariste parle super bien francais et na pas oiu presque decroché un mot.ya que le chanteur qui disait juste merci, merci ou marc a vomité...( je sais plus le nom du batteur) enfin bref les lumiere ct pas mal mais lambiance était un peu molle, beaucoup de filles fashion qui nont pas bougé un sourcil de toute la soirée.un concert, si tu y vas, c pour t'eclater!donc bref voila.jcrois que jirai pas les voir au zenith.
Le 04/12/2004 - Villeurbanne.
concert bien dans l'ensemble, mais déçue par 3 choses:
- trop de monde. et particulièrement trop de cons qui se foutent juste devant toi pour TE GACHER LA VUE. si ta pas la chance de faire 2m de haut tu rates la moitié du concert. mais bon ça on y peut rien, tous les concerts sont pareils.
- je sais que le bassiste ou guitariste (chais plus) parle français. OR, il n'a pas décroché un mot de la soirée. on a juste eu droit à quelques "ca va?" et "merci" du chanteur. ... dommage...
-dernière chose, et pas la moins important, ILS N'ONT PAS JOUE UNTITLED. et ça, je leur pardonnerai pas. selon moi, c LA chanson magnifique d'Interpol. non pas que les autres sont moins bien, mais celle-là c'est la première que j'ai connu, je l'adore. ils l'auraient joué ça m'aurait foutu des frissons. ...dommage bis...
Interpol c le genre de CD que t'écoutes en te disant que le concert doit être EXCELLENT. alors bon, je suis déçue.
voilà pour ma critique perso.
à vous de dire ce que vous en avez pensé.