Né dans l'effervescence d'une friche artistique, Larsovitch déploie un live où chaque geste compte. Ses machines analogiques crachent un son dense, abrasif, taillé pour la danse crispée et les corps serrés. Les textes, en grec, en russe ou en français, sont projetés comme des coups de semonce ; l'énergie brute emporte tout.